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Le réchauffement climatique :Une sentence infaillible ou une illusion frauduleuse ?

Publié par medisma sur 6 Novembre 2016, 21:45pm

 

Le réchauffement climatique :Une sentence infaillible ou une illusion frauduleuse ?

 Nous dirions plutôt que le réchauffement de la planète est une escroquerie et un mensonge, « la thèse officielle, une foutaise ! » et le rapport Giec, une fantaisie ! Et c’est la plus grande supercherie des temps modernes ! 

Voila pourquoi :

Il y a littéralement des milliers d’articles et de publications scientifiques visées par des pairs qui ne soutiennent pas la thèse d’une vision catastrophique, ou même problématique, de l’enrichissement de l’atmosphère en CO2.

 

Le coup de gueule du professeur Istivan Marko 

Citons en premier lieu le professeur de chimie organique à l’Université catholique de Louvain, en Belgique, Istivan Marko à propos des affirmations sur le réchauffement climatique sans cesse répétées par les fanatiques du GIEC. 

Non, non, non et non !! Je le répète et le répéterai sans cesse : le CO2 n’est ni un poison, ni un polluant ! Il ne l’a jamais été et il ne le sera jamais !

Malgré les nombreuses campagnes de désinformation, menées par des ONG environnementalistes sans scrupule, qui n’hésitent pas à endoctriner nos jeunes têtes blondes dès le début de leurs études, en dépit des accusations médiatiques injustes relayées par certains journalistes trop occupés pour vérifier leurs sources les plus fondamentales ou déjà acquis à « la cause », et nonobstant sa condamnation par certains politiciens dogmatiques et aux connaissances scientifiques hésitantes, le CO2 est et reste ce qu’il a toujours été : l’une des molécules les plus importantes de la vie !

Pas de CO2 et pas de vie sur Terre telle que nous la connaissons.

Le CO2, c’est avant tout « la nourriture » des plantes. C’est leur aliment de base. La photosynthèse, cette merveilleuse transformation que les plantes ont appris à maîtriser, utilise la lumière du soleil et le CO2 pour fabriquer sucres, cellulose et amidon et donner vie à nos végétaux. Pas de CO2, pas de plantes et donc pas d’herbivores, ni de carnivores, ni … d’humains. Le CO2 est vraiment source de vie ! Nous savons aujourd’hui que nos végétaux sont affamés en CO2. De nombreux scientifiques ont montré que la quantité de CO2 dans l’air était plus importante auparavant et que nos plantes souffrent d’un manque chronique de gaz carbonique. Elles ont faim. Tous ceux qui cultivent dans une serre botanique industrielle savent très bien que la quantité de CO2 à l’intérieur de la serre est environ trois fois plus élevée (1100 à 1200 ppmv) que celle présente dans l’atmosphère que nous respirons (un peu moins de 400 ppmv en 2015). Dans ces conditions, les végétaux poussent plus vite, sont plus robustes, apprécient une température plus élevée et consomment moins d’eau.

Cette dernière propriété explique aussi pourquoi, depuis plus de 30 ans, on observe un verdissement de la planète de plus de 20%. Oui, vous lisez bien ! Il y a 20% de verdure en plus sur Terre aujourd’hui qu’il n’y en avait il y a trente ans. Malgré la déforestation continue — qui n’est une réalité qu’en certains endroits de la planète — et l’action des hommes, les plantes poussent plus vite et en plus grand nombre car elles ont enfin davantage de nourriture. L’un des résultats les plus visibles (par satellite) de ces conditions favorables à la croissance des plantes est le recul de certains déserts, dont celui du Sahel. L’autre est l’augmentation constante de la production mondiale de céréales pour lesquelles une hausse du taux de CO2 atmosphérique est un formidable bonus. Une belle gifle pour ceux qui veulent diminuer la quantité de CO2 présent dans l’atmosphère. La Nature nous donne un tout autre message : encore du CO2 ! Plus de CO2 !

Pour vivre, la plupart des animaux, en ce compris les humains, ont besoin d’oxygène. Celui-ci est produit notamment par les arbres et les végétaux, mais en quantités relativement faibles. La majorité de l’oxygène que nous respirons provient du phytoplancton. Ces minuscules organismes marins utilisent la lumière du soleil et le CO2 atmosphérique pour se nourrir. Ils rejettent en même temps d’importantes quantités d’oxygène. Plus de 75% de l’oxygène présent dans l’atmosphère provient de ce phytoplancton et donc, du CO2 qu’ils utilisent ! Pas de CO2, pas de phytoplancton et donc pas assez d’oxygène pour vivre ! A l’inverse de ce que l’on tente d’imprimer dans nos esprits depuis des lustres, les forêts ne sont pas les « poumons » de la Terre, à peine quelques petites alvéoles pulmonaires. Les vrais poumons, ce sont les phytoplanctons !

Malgré toutes ces qualités vitales à notre survie, le CO2 est devenu la bête noire des climatologues alarmistes du GIEC (Groupement Intergouvernemental pour l’Etude du Climat) et des ONG environnementalistes qui accusent le CO2 produit par l’Homme (uniquement celui-là, bien sûr) d’être responsable de l’augmentation de la « température moyenne » de notre globe depuis le début de l’ère industrielle. Le CO2 est un gaz à « effet de serre » dont la puissance phénoménale de réchauffement est égale à … 1 ! La vapeur d’eau est 10 fois plus puissante et certains fréons plus de 10.000 fois !

Le problème de cette théorie fumeuse est que depuis plus de 18 ans, la « température moyenne » de notre terre n’a pas augmenté d’un iota ! Durant cette période, plus d’un tiers du CO2 total émis depuis le début de l’ère industrielle a été relâché dans l’atmosphère. Si ce gaz était vraiment responsable d’un quelconque réchauffement climatique anthropique, on s’attendrait à tout le moins à observer une hausse vigoureuse des températures. Rien de tout cela ne se produit. Nada. Comme le disait le grand physicien Richard Feynman : « Lorsque votre théorie, aussi belle et géniale soit-elle, est invalidée par l’expérience, c’est qu’elle est fausse. Il faut s’en débarrasser et en formuler une meilleure. » Exit la théorie du GIEC sur le CO2. Exit le GIEC aussi ? La vraie question reste cependant : pourquoi le GIEC, l’ONU, de nombreuses ONG, certains politiciens, de grandes compagnies électriques et d’autres veulent-elles à tout prix la peau du CO2 anthropique ? La raison est double : politique et financière (pour changer).

Politique parce que de nombreuses organisations, dont l’ONU, ont trouvé dans la lutte contre le changement climatique et donc contre le CO2 un thème unifiant qui leur ouvre la possibilité d’une gouvernance mondiale à laquelle elles aspirent depuis plusieurs générations. Le CO2 est un problème mondial qui ne peut être résolu que par une action mondiale et qui mieux qu’un gouvernement mondial pourrait y pourvoir ? Le document qui sera discuté au prochain sommet du climat à Paris en décembre 2015 n’est rien de moins qu’un pas gigantesque en ce sens. On y trouve même la volonté d’instaurer d’un tribunal climatique mondial. À quand le rationnement du nombre de respirations par humain par jour ?

Politique parce que certaines élites occidentales ne veulent pas que les pays émergents quittent leur état de pauvreté et de dépendance actuelles. Ils risqueraient de devenir de nouvelles puissances et leur feraient de l’ombre, voire relègueraient leurs rêves idéologiques à l’arrière-plan. Quel meilleur moyen de ralentir leur développement économique et technologique que de leur proposer d’investir dans la sauvegarde de notre terre commune en utilisant directement des énergies renouvelables et en appliquant les principes du développement durable ? Moyennant finances, bien entendu, via des transferts de richesse directs consentis par les pays « riches ». Ainsi, on maintient les pays émergents dans leur état actuel de précarité, voire on l’accentue, tout en condamnant les pays « riches » à s’appauvrir (le dernier rapport du GIEC préconise expressément la « décroissance », ce concept « scientifique » bien connu, pour les pays riches). Malthus serait fier de ses enfants !

Financier parce que la gigantesque arnaque du développement durable et de son corollaire, les énergies renouvelables, repose exclusivement sur la peur générée dans le grand public – et continuellement maintenue à grand renfort de publicité dans tous les médias – du réchauffement climatique dû au CO2 produit par l’Homme. C’est cette crainte soigneusement entretenue qui permet aux gouvernements de créer de nouveaux impôts « verts », de financer avec l’argent du contribuable des éoliennes inutiles et d’investir dans des énergies renouvelables aussi ridicules que superflues, emplissant ainsi les poches de certains industriels peu scrupuleux, voire mafieux, avec l’argent des honnêtes citoyens. Quant aux ONG, elles reçoivent maintes subventions pour maintenir cette peur dans l’esprit du public.

La chasse au CO2 n’a évidemment rien à voir avec son misérable « effet de serre », ni avec un quelconque réchauffement de la planète. Tout cela n’est que politique nauséabonde et combines financières en tous genres. Qui sont les perdants ? Les pauvres des pays riches. Qui sont les gagnants ? Les riches des pays pauvres. Sans l’imaginaire toxicité du CO2 et de ses effets néfastes sur l’environnement, toute cette gigantesque supercherie se dégonflerait comme une baudruche percée. Tant d’intérêts sont cependant en jeu que leurs bénéficiaires ont certainement prévu de larges quantités de rustines pour colmater les fuites et maintenir en l’air aussi longtemps que possible ce claudiquant attelage. »

Source : Diatala

 

Quant au Britannique Martin Durkin, il prend le contre-pied de l'actuel consensus sur l'évolution du climat en s'appuyant sur des interviews de scientifiques, d'économistes ou encore d'hommes politiques.

Son film documentaire diffusé au Royaume-Uni en 2007, intitulé The Great Global Warming Swindle, conteste l'avis de la majorité des climatologues selon lequel l'activité humaine serait la principale cause du réchauffement climatique. Le film montre le témoignage de scientifiques, d'économistes, de politiciens, d'écrivains et d'autres personnes sceptiques par rapport au consensus scientifique sur l'origine anthropique du réchauffement climatique.

La publicité du programme affirme que le réchauffement climatique provoqué par l'homme est un mensonge et la plus grande supercherie des temps modernes

 

Pour Vincent Courtillot : "Il n'y a plus aucun réchauffement"

Vincent Courtillot nous démontre les incohérences du GIEC et apporte les vraies courbes du changement climatique. Ici Extrait de l'excellente intervention de Vincent Courtillot en 2011 à l'Université de Strasbourg qui nous démontre une stabilisation voir une baisse des températures depuis l'an 2000. Il nous apporte également un éclaircissement sans précédent des études sur le climat.

 

De même, le Professeur de Harvard, Robert Stavins a jeté un pavé dans la mare. Une révélation de plus.

Et chaque jour des voix s’élèvent pour dénoncer les tripotages des gouvernements, des officines liées à l’ONU, du GIEC et des organisations écologiques diverses pour faire croire au réchauffement climatique et même aux « changements climatiques ».

  • Dernièrement dans un meeting sur le climat à Berlin, trois-quarts d’un document aurait été volontairement effacé pour dissimuler des vérités.
  • Ce professeur était l’un des deux coordinateurs d’un rapport clé qui devait être publié par l’IPCC (Intergovernmental Panel on Climate Change). Ce rapport était lié à la coopération entre les pays pour la réduction des émissions carbonées. Il a été profondément affecté lorsqu’il était dans ce groupe de travail, où lui et un autre scientifique étaient entourés par une cinquantaine d’officiels gouvernementaux. Les réunions sur le climat sont toutes noyautées par des politiciens de tous les pays.
  • La plupart d’entre eux lui ont dit que son texte n’était pas en ligne avec leurs intérêts et les négociations multilatérales qu’ils avaient menées par ailleurs. En clair les conclusions des scientifiques dérangeaient leurs combines. Beaucoup de ces politiques travaillent sur un nouveau traité qui remplacerait le protocole de Kyoto en 2015 (encore un traité opaque). L’une des conclusions faites par ce Professeur est que le contenu de tous ces rapports est dicté par des politiques. Nous n’avons malheureusement pas les détails de ce que les gouvernements ont dicté, ni quels pays étaient impliqués. Nous avons compris que presque tous les pays importants étaient représentés.
  • Mais ceci démontre bien que les citoyens n’ont pas accès aux vraies informations. Que tous les rapports qui sont publiés sur le climat ne valent rien. Les motivations des États sont financières. Les États menant des politiques de dilapidation de l’argent public, cherchent par tous les moyens de gonfler leurs recettes. La trouvaille qui marche : faire peur aux citoyens avec les supposées catastrophes climatiques.
  • Ainsi de sombres tractations aboutissent à des propagandes alarmistes :
  • - La température du globe augmente.
  • C’est totalement faux. La température moyenne de notre planète n’a plus bougé depuis 17 ans.
  • - C’est le CO2 qui est responsable du changement climatique.
  • Faux. On sait qu’une grande partie de CO2 profite à la croissance végétale, et que les océans absorbent une partie du CO2, qui aboutit à la précipitation de carbonates. Les vrais scientifiques savent que c’est le soleil qui détermine le climat.
  • - L’eau des océans monte.
  • Oui de quelques millimètres. On est très loin des prévisions catastrophistes qui annonçaient pour la fin du siècle la disparition de pays entiers. En réalité, la hauteur des océans a toujours fluctué au cours des ères. Il faut revoir ses connaissances sur la tectonique des plaques et sur le volcanisme très actif. La Terre est une planète tellurique, apparemment les politiciens ne le savent pas.
  • - Les glaciers fondent au Pôle nord.
  • Oui partiellement, mais ils s’agrandissent au Pôle Sud.
  • Nous pourrions continuer d’égrener encore beaucoup de fables que l’on nous raconte. Toutes ces calamités supposées sont des prétextes pour vous taxer : votre chauffage, votre carburant, votre électricité... et tout le reste, puisque tout ce que nous consommons demande de l’énergie.

Que de mensonges on vous fait avaler, pour vous faire les poches. 

     

Face au GIEC, le rapport indépendant sur l’autre plateau de la balance

La publication récente du rapport de l’ONU sur le changement climatique a électrisé politiciens et activistes environnementalistes, qui ont émis une nouvelle tournée d’appels à réduire les émissions de gaz à effets de serre. Certaines des déclarations parmi les plus enflammées dans ce sens sont venues de la sénatrice démocrate californienne Barbara Boxer, qui en a appelé au congrès à « se réveiller et tout faire en son pouvoir pour réduire la dangereuse pollution au carbone », tandis que le ministre des affaires étrangères John Kerry a exprimé des sentiments similaires dans un communiqué du State Department, affirmant que, « sauf si nous agissons rapidement et fortement, la science nous dit que le climat et nos modes de vies sont littéralement en péril ».

Vraiment ? Le climat de la Terre est-il si fragile que lui-même et notre mode de vie seraient en péril à cause de la montée des émissions de dioxyde de carbone (CO2) ?

En un mot, non ! L’impact humain sur le climat est petit ; et tout réchauffement qui pourrait se produire du fait des émissions humaines de CO2 aura probablement peu d’effets, que ce soit sur le climat ou la biosphère de la Terre, d’après le rapport récemment publié « Le changement climatique reconsidéré II, les Impacts Biologiques » qui a été produit par le Panel Non-gouvernemental sur le Changement Climatique (NIPCC), et qui contraste avec celui du GIEC.

Cette autre évaluation passe en revue littéralement des milliers d’articles de publications scientifiques visées par des pairs, qui ne soutiennent pas, et même souvent contredisent, les conclusions du rapport de l’ONU. Que le sujet soit les effets du réchauffement et de l’augmentation du taux de CO2 sur les plantes, les animaux ou les humains, le rapport de l’ONU met invariablement en avant les études et les modèles qui dépeignent le réchauffement planétaire de la couleur la plus sombre possible, ignorant ou négligeant ceux qui ne le font pas.

Pour emprunter une phrase révélatrice de leur rapport, l’ONU ne voit rien d’autre que « la mort, des blessures et des vies perturbées », où qu’elle porte son regard, comme le font la sénatrice Barbara Boxer, John Kerry, et d’autres. Le Changement Climatique Reconsidéré II, Impacts Biologiques démontre que la vie sur Terre ne souffre pas de la hausse des températures et des niveaux de CO2 atmosphérique. Citant des masses de données du monde réel, il offre des preuves scientifiques solides que la plupart des plantes profitent au fait d’être exposées à la fois à des températures plus hautes et à de plus fortes concentrations de CO2. En fait, il démontre que la biosphère terrestre est en train de connaitre un grand verdissement, qui cause le recul des déserts et l’expansion des forêts, ce qui agrandit et améliore l’habitat pour les animaux terrestres, la vie aquatique, et la santé humaine.

Pourquoi ces découvertes de la recherche et cette perspective positive sont-elles absentes des rapports de l’ONU sur le climat ? Bien que l’ONU prétende n’être pas biaisée et avoir fondé ses évaluations sur la meilleure science disponible, ça n’est de toute évidence pas le cas. Et nous avons, en conséquence, beaucoup de chance que le rapport du NIPCC fournisse des preuves tangibles que le débat sur le réchauffement planétaire entrainé par le CO2 et l’acidification des océans reste non arrêté à de nombreux niveaux ; car il y a littéralement des milliers d’articles de publications scientifiques visées par des pairs qui ne soutiennent pas la thèse d’une vision catastrophique, ou même problématique, de l’enrichissement de l’atmosphère en CO2.

Malheureusement, l’alarmisme climatique est devenu le modus operandi des rapports d’évaluation de l’ONU. Ce fait est triste, certainement, parce qu’en assemblant ces rapports, l’ONU a soit volontairement fermé l’œil sur des points de vues qui allaient contre les études qu’elle utilisait, soit n’a pas donné à ses auteurs la quantité de temps, d’énergie et de ressources nécessaires pour enquêter pleinement sur une question qui est profondément significative pour toute la vie sur Terre. Avec comme résultat que l’ONU a sérieusement exagéré de nombreuses conclusions terribles, distordu des faits pertinents, et omis ou ignoré des découvertes scientifiques clés. Et cependant, malgré ces échecs, divers politiciens, États, et institutions continuent de se rassembler autour des rapports de l’ONU sur le climat, et persistent à utiliser leur position comme justifications pour légiférer pour des réductions d’émissions de CO2, comme le montrent les remarques de la sénatrice Boxer et de John Kerry.

Ne citer que des études qui font la promotion du catastrophisme climatique comme base pour ces règlementations, tout en ignorant des études qui suggèrent juste le contraire, est tout simplement mauvais. Les citoyens de chaque nation méritent un examen bien plus approfondi de cette question par leurs États ; et ils devraient exiger une plus grande responsabilité de leurs officiels élus dans leurs tentatives de les fournir.

Alors que plus de 3000 références scientifiques visées par des pairs citées dans « Le Changement Climatique Reconsidéré II, Impacts Biologiques » sont probablement plus que suffisantes pour établir un fait scientifique devant une cour de justice, elles ne sont pas suffisantes pour engager les vrais négationnistes du climat dans un débat. La montée du CO2 atmosphérique n’a pas, et n’aura pas, d’influence dangereuse sur le climat et la biosphère. Mais ne me croyez pas sur parole, téléchargez et lisez le rapport par vous-mêmes (disponible ici). Comparez-le avec celui de l’ONU. À vous de juger.

Par Craig D. Idso.

—-
[*]
 Dr Craig D. Idso est Éditeur en Chef et scientifique pour le Panel Non-Gouvernemental sur le Changement Climatique.

(Traduction Contrepoints)

 

Réchauffement climatique : pourquoi le rapport du Giec est fantaisiste

Les 250 scientifiques internationaux du Giec, le groupement sur l'évolution du climat, ont rendu leur nouveau rapport. Il prévoit entre autre une hausse du niveau de le mer de près d'un mètre d'ici à 2100, à cause du réchauffement. Pour Benoît Rittaud, mathématicien auteur du "Mythe climatique" (éd. Seuil), il faut en finir avec le catastrophisme.

"Les eaux continuèrent de grossir, toujours et encore au-dessus de la terre, et toutes les hautes montagnes qui sont sous le ciel furent recouvertes. (…) Tous les êtres vivants de la terre périrent : oiseaux, animaux des champs, bêtes sauvages, tout ce qui vivait et bougeait sur la terre, ainsi que tous les hommes". Genèse 7, 18-21.

Il paraît donc que cet épisode biblique va se reproduire bientôt. Le cinquième rapport du Giec (Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat), dont le volet scientifique a été présenté vendredi, nous promet en effet une hausse de près d’un mètre du niveau moyen des mers d’ici 2100, avec, nous précise-t-on, d’immenses dégâts afférents. Qu’on se le dise : il est encore possible d’empêcher le déluge, à condition de renoncer sans délai à la voie du pêché.

La température de la Terre n'augmente plus

Comme un malheur ne vient jamais seul, le Giec nous annonce aussi que la température du globe pourrait s’élever de près de cinq degrés d’ici 2100 si nous ne faisons pas pénitence. La fameuse "poêle à frire" évoquée par un ancien Premier ministre préparant à l’époque une première mouture de taxe carbone nous rôtira sans pitié.

Jamais en retard pour relayer le catastrophisme climatique ambiant en usant du sentimentalisme le plus grossier, "Le Monde" ne manque pas de nous rappeler dans son dernier éditorial que les victimes à déplorer se comptent chez "les générations futures, à commencer par les enfants qui naissent aujourd’hui".

Heureusement pour vos enfants et les miens, rien de tout cela ne semble devoir advenir. Même le Giec doit désormais reconnaître que la température de la Terre n’augmente plus depuis quinze ans. "Simple pause", nous réplique-t-on toujours : "lorsque le réchauffement climatique va revenir se venger, vous allez voir ce que vous allez voir."

La hausse du niveau des mers ? Actuellement de l’ordre de 3 millimètres par an, elle est tout à fait comparable à celle du XXe siècle. Trois fois plus faible que ce qu’il faudrait pour permettre au scénario catastrophe du Giec de se réaliser, elle montre une régularité remarquable depuis des années.

Aucune accélération de la hausse du niveau des mers n’est discernable depuis le début des mesures satellitaires, commencées au début des années 90. S’il lui faut monter d’un mètre d’ici 2100, l’océan va devoir se réveiller, parce que mine de rien, le siècle est déjà bien commencé.

Le Giec, un ovni de l'histoire des sciences

Mais la catastrophe est toujours pour demain. Comme en 2007, lorsque nos mêmes voix expertes supputaient que la banquise arctique pourrait avoir totalement fondu à la fin de l’été 2013. (Le bilan réel est d’une extension de glace d’un peu plus de cinq millions de kilomètres carrés : la banquise va encore bien, merci.) Des experts en général moins bavards sur l’augmentation régulière de l’extension de glace autour de l’Antarctique, dans l’hémisphère sud. 

Le Giec est un ovni de l’histoire des sciences. C’est la première fois qu’un groupe d’experts d’une telle ampleur est constitué pour une durée illimitée aux fins de dire la vérité d’une théorie. À grand coups d’annonces toujours plus catastrophistes et définitives, ce politburo de la climatologie a bien failli parvenir à installer ce dont rêvent tant d’esprits bornés : une science officielle qui marie l’apparence du consensus avec une vision morale du monde.

Heureusement pour nous tous, le Giec a échoué. Oh, bien sûr, le cinquième rapport ne manquera pas de faire quelques unes. Il tirera des larmes sur les malheurs à venir. Il donnera du grain à moudre pour dénoncer l’"irresponsabilité" des sceptiques, et pourquoi pas les accuser d’être des criminels envers les générations futures. D’ailleurs même si le Giec se trompe, il a raison quand même. La preuve, il veut notre bien.

Instrumentalisation de la science

Il n’en reste pas moins que le ressort est cassé. Après avoir bénéficié de circonstances favorables jusqu’au milieu des années 2000, le Giec a vu sa chance tourner. Tous les efforts rhétoriques n’y feront rien : Sandy n’est pas Katrina. L’activité cyclonique est à un niveau particulièrement bas ces dernières années. Les répliques de la canicule de 2003 se font attendre.

Toujours pas de réchauffement dans la zone de l’atmosphère située une dizaine de kilomètres au-dessus de l’équateur, là où pourtant, selon la propre théorie du Giec, le réchauffement devrait être particulièrement marqué.

Ne nous leurrons pas pour autant. Le Giec n’a pas été installé par la science telle qu’on l’aime, celle des Galilée, des Darwin et des Euler, et ce n’est malheureusement pas davantage cette science qui est en train de le ringardiser. Oui, le Giec a perdu, même s’il fait mine de ne pas le savoir.

Hélas, c’est au réel le plus concret et le moins climatique qu’on le doit. Le résultat désastreux de la conférence de Copenhague, les difficultés économiques et sociales, les tensions internationales : tout cela aura bien plus compté que l’échec des modèles informatiques ou les doutes sur la sensibilité climatique.

De bout en bout, la science n’aura été, dans cette affaire, qu’un instrument de forces bien supérieures et qui ont pour noms désirs, fantasmes, angoisses… Des forces qui vont et qui viennent à leur gré. Et ce depuis le Déluge.

Par Benoît Rittaud, Enseignant-chercheur en mathématiques, maître de conférences à l'université Paris-13, au sein du laboratoire d'analyse, géométrie et applications (institut Galilée).
Auteur notamment de "Mythe climatique" (Seuil, 2010).

 

Drieu Godefridi : "Pourquoi il faut démanteler le GIEC".

Conférence de Drieu Godefridi organisée par l'Institut Turgot (Paris) le 7 mai 2015 à l'Assemblée nationale. Drieu Godefridi reprend l'essentiel d'une présentation faite quinze jours plus tôt à l'Académie Royale de Belgique, dont le thème était : "Critique épistémologique du Groupe Intergouvernemental d'Experts sur le Climat".

 

Le spécialiste reconnu des avalanches, le Suisse Werner Munter planche nuit et jour depuis trois ans sur le réchauffement climatique. Et, pour lui, l’homme n’y est pour rien !

Il y a peu de temps, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) pointait une nouvelle fois d’un doigt accusateur l’homme et le CO2 qu’il produit comme principaux coupables du réchauffement climatique. Pour Werner Munter, spécialiste mondialement reconnu des avalanches, qui se penche compulsivement sur le phénomène depuis trois ans, « ces gens sont des imbéciles qui répètent en boucle des bêtises, le savent et sont payés pour ! » Le Bernois nous a longuement reçus dans son appartement d’Arolla (VS) pour étayer ces accusations entre une tranche de viande séchée et deux verres de Cornalin. Son diagnostic climatosceptique, loin d’être celui d’un hurluberlu, est partagé par d’éminents scientifiques dont deux Prix Nobel. Il nous l’explique.

Vous affirmez que l’homme n’a rien à voir avec le réchauffement. Pourquoi ?

Précisons tout d’abord que je ne conteste pas le réchauffement lui-même. Je l’ai d’ailleurs constaté en tant que guide de montagne en voyant les glaciers reculer. Celui qui nous fait face par exemple a perdu 100 m depuis que j’ai acheté cet appart en 1989. En 2005, le pilier Bonatti des Drus s’est effondré à cause du réchauffement du permafrost. Ce que je remets en cause, ce sont les causes de ce réchauffement. Elles n’ont rien à voir avec l’homme ou avec le CO2 comme on nous le serine. Je suis arrivé à cette conclusion pour trois raisons.

Quelles sont ces raisons ?

La première, c’est tout simplement l’analyse des données climatiques reconstituées sur des millions d’années. Rien que dans les 10 000 dernières années, il y a eu cinq pics de températures comparables à celui que nous vivons. Ces optima correspondent à des cycles naturels. Au Moyen Age, il était par exemple possible d’aller en vallée d’Aoste depuis Arolla avec les troupeaux car le glacier n’existait plus. Lors des deux premiers optima, le Sahara était une savane avec des lacs, des arbres et des éléphants. Avant cela, pendant des centaines de milliers d’années, il a fait plus chaud qu’aujourd’hui. Et parfois jusqu’à 7 degrés plus chaud ! Or le GIEC se concentre sur les 150 dernières années. Autant dire qu’il regarde autour de son nombril. Les reconstructions paléoclimatiques montrent aussi que, pendant des centaines de millions d’années, il n’y a pas eu de corrélations entre le CO2 dans l’atmosphère et la température sur terre.

Votre second argument ?

La concentration de CO2 – qui est soit dit en passant un gaz vital et non pas un poison – dans l’atmosphère est négligeable. Il y en a un peu moins de 0,5‰ dans l’atmosphère, et au maximum 5% de cette quantité est imputable à l’homme. Pour un million de molécules d’air, il y a seulement 20 molécules de CO2 produites par l’homme. Et chaque année, notre industrialisation rajoute 4 molécules de CO2 pour chaque million de molécules d’air, mais la moitié est absorbée par les océans et les plantes. Et on veut nous faire croire que cette infime proportion due à l’homme est une catastrophe ? J’ai beaucoup de peine à le croire (rires).

Pourquoi dès lors la thèse officielle fait quasi consensus ? Vos collègues scientifiques ne sont pas tous des imbéciles !

Ces théories visent à nous culpabiliser. Quand des scientifiques comme ceux du GIEC disent qu’ils veulent sauver la planète, je dis qu’ils ne sont pas crédibles. Ils mentent pour préserver des intérêts économiques dont les leurs. Car il y a tout un business derrière la lutte contre le réchauffement. Il y a une volonté de faire peur aux gens par exemple en dramatisant la montée des océans, alors que ceux-ci ne s’élèvent que de 2 à 3 mm par an ! C’est aussi une manipulation intellectuelle de parler de CO2 en tonnes plutôt qu’en proportion. Des tonnes, ça impressionne, mais rappelons que l’atmosphère pèse 5 000 000 000 000 000 tonnes !

Votre dernier argument est que la thèse officielle contredit les lois de la physique. C’est-à-dire ?

Celle de la thermodynamique en particulier. Pour faire simple : la terre fait 15° en moyenne. L’atmosphère censément polluée de CO2 est grosso modo à -30° à 10 km d’altitude. Qu’elle réchauffe la Terre qui est bien plus chaude qu’elle est une aberration. La thermodynamique nous dit que la chaleur va toujours vers le froid et jamais dans le sens inverse, ce que correspond à notre expérience quotidienne.

Alors au final, comment expliquez-vous ce fichu réchauffement ?

Je n’ai pas de réponse car trop de facteurs entrent en jeu.  Par contre, j’ai des hypothèses. Je soupçonne par exemple les variations de l’intensité du rayonnement solaire – qui répondent à des cycles – de jouer un rôle central, tout comme les processus nucléaires complexes et méconnus qui sont à l’œuvre au centre de notre Terre. Quoi qu’il en soit, c’est de l’arrogance de croire qu’en 150 ans d’industrialisation nous avons changé le climat. La nature est bien plus forte que l’homme, nous ne sommes pas les maîtres de la Terre !

Encore Istvan Marko: pourquoi la théorie du réchauffement climatique doit nous faire rire

Intervention du Pr Istvan Marko, docteur en chimie et professeur à l'Université catholique de Louvain (UCL), lors de la réunion d'Agora Erasmus le 5 décembre à Bruxelles. Questions et réponses ainsi que les autres vidéos de la réunion: http://www.agora-erasmus.be/VIDEO-Reu..

 

Réchauffement Climatique - ON VOUS MENT

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