Le CNT reconnaît avoir violé les droits de l'homme
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« Nous craignions une cinquième colonne agissant dans la ville », a-t-il expliqué, sans plus de précisions. « Nous cherchons les coupables, nous les traduirons en justice ». Les forces rebelles, ajoute le porte-parole du NCT, essaient « de traiter les prisonniers de guerre selon la Convention de Genève ».
Ces commentaires d'Abdul Hafiz Ghoga sont livrés deux jours après qu'une commission d'enquête du Conseil des droits de l'Homme de l'ONU eut conclu que l'opposition libyenne a commis « quelques actes qui constituent des crimes de guerre ».
La commission d'enquête de l'ONU a évoqué des cas de « torture et d'autres formes de traitements inhumains et dégradants » commis par la rébellion. Elle a aussi accusé le régime de Mouammar Kadhafi de crimes contre l'humanité et des crimes de guerre.
Source Radio Canada
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