Au sommaire de cette édition du 16 septembre 2013 :
Bienvenue dans la 4ème dimension avec l’imposition des revenus virtuels
Hollandie : les tribulations de la progéniture ministérielle ou la petite histoire secrète des fils de…
Rencontre avec François Asselineau, Président de l’Union Populaire Républicaine
Syrie : le succès de la diplomatie russe met fin à 30 ans d’hégémonie, du complexe militaro industriel américain.
Syrie encore : après le vampire des carpettes, un nouveau pantin médiatique arrive au secours de Laurent Fabius : le boucher des Carpates s’invite au Bal des Vampires
L’Islande ne veut plus intégrer l’Union européenne en ruine
La Hongrie s’en sort mieux sans Bruxelles
Ouverture de la saison culturelle de la fédération de Russie, avec l’exposition Romanov, à l’hôtel d’Estrée.
Observation : Pour mieux nous connaitre
Notre position idéologique correspond exactement à celle affichée par le blogalupus et que nous vous communiquons ci-après :
« Il est évident que nous ne sommes pas pro-russes en tant que tel. Pas plus, bien sûr que nous ne sommes anti-américains. Notre position ressemble à celle que nous développons lorsque nous critiquons le capitalisme financier, la kleptocratie etc, à savoir que nous sommes capitaliste, mais pour un capitalisme productif, responsable-c ‘est à la mode- créateur d’emplois. Nous sommes contre le capitalisme financier, qui n’est qu’un capitalisme de spéculation producteur d’inégalités et de chômage. Donc nous critiquons la forme que prend le capitalisme actuellement, sa forme pervertie...
Mais le fait est que la question ne se pose pas en ces termes. La question se pose en termes d’abus de droit, de pouvoir, de force. L’impérium américain est insupportable en termes monétaires, économiques, financiers, sociaux, fiscaux, et de plus en plus en termes géopolitiques. Le problème est qu’il n’y a plus de limites, plus de contre-pouvoirs intérieurs ou extérieurs.
On comprend et c’est là la racine de notre position, que nous soyons enclins à soutenir les contre-pouvoirs quand ils se manifestent. La nouvelle idéologie du " punitisme" est un abus de pouvoir, une mystification qui masque la volonté impériale de remodeler le monde selon ses plans et son idéologie, et c’est cela qui n’est pas acceptable: Aucun pays ne se sentira plus en sécurité si on accepte cette nouvelle idéologie. Déjà, celle des droits de l’homme était contestable, mais la nouvelle est un pas gigantesque en avant.
La dérive est colossale et c’est la mauvaise pente que celle de la nation building ou du jeu de l’apprenti sorcier au remodelage régional. L’escalade est toujours possible, les boites de Pandore s’ouvrent comme on le voit en Irak, Afghanistan, Libye, Egypte… Au plan moral le soutien aux sunnites que l’on combat par ailleurs est une monstruosité. L’abandon des chrétiens de ces régions en est une autre.
Tout le monde bluffe et ment. Nous sommes dans de gigantesques parties de poker menteur. Sauf, peut-être le malheureux Hollande qui est allé se faire prendre dans cette galère comme un naïf ou un débutant et qui a bien du mal à éviter le ridicule maintenant que les deux grands joueurs d’échec, les Américains et les Russes ont entamé la partie.
Mais le fait est que la question ne se pose pas en ces termes. La question se pose en terme d’abus de droit, de pouvoir, de force. L’impérium américain est insupportable en termes monétaires, économiques, financiers, sociaux, fiscaux, et de plus en plus en termes géopolitiques. Le problème est qu’il n’y a plus de limites, plus de contre-pouvoirs intérieurs ou extérieurs.
On comprend et c’est là la racine de notre position, que nous soyons enclins à soutenir les contre-pouvoirs quand ils se manifestent. La nouvelle idéologie du " punitisme" est un abus de pouvoir, une mystification qui masque la volonté impériale de remodeler le monde selon ses plans et son idéologie, et c’est cela qui n’est pas acceptable: Aucun pays ne se sentira plus en sécurité si on accepte cette nouvelle idéologie. Déjà, celle des droits de l’homme était contestable, mais la nouvelle est un pas gigantesque en avant.
La dérive est colossale et c’est la mauvaise pente que celle de la nation building ou du jeu de l’apprenti sorcier au remodelage régional. L’escalade est toujours possible, les boites de Pandore s’ouvrent comme on le voit en Irak, Afghanistan, Libye, Egypte… Au plan moral le soutien aux sunnites que l’on combat par ailleurs est une monstruosité. L’abandon des chrétiens de ces régions en est une autre.
Tout le monde bluffe et ment. Nous sommes dans de gigantesques parties de poker menteur. Sauf, peut-être le malheureux Hollande qui est allé se faire prendre dans cette galère comme un naïf ou un débutant et qui a bien du mal à éviter le ridicule maintenant que les deux grands joueurs d’échec, les Américains et les Russes ont entamé la partie. »
II- MediaPorte: «Claire Chazal, c'est du brutal !»