Au coeur de la sombre politique française
Du Général De Gaulle à Jacques Chirac, la France était respectée. Et avec le dauphin de Chirac, Dominique de Villepin, elle aurait continué à être respectée. Mais dans l’ombre, un CRIF voulut changer cette France, la dompter pour qu’il n’y eut plus d’électron libre capable, par ex, de dire non à la guerre contre l’Irak (comme Jacques Chirac et Dominique de Villepin), sinon des agents soumis (1).
On commença par lancer l’affaire Clearstream (2), pour éclabousser artificiellement le dauphin, devenu le seul coupable, la victime expiatoire, tandis que Nicolas Sarkozy devint blanc comme une colombe. D. de Villepin fut mis hors jeu, mais les médias aux ordres avaient lancé le produit « super Sarko », avec un slogan prometteur, « Ensemble, tout devient possible ». Même le ridicule !
A partir de ce moment, le monde cessa de considérer notre pays, et avec Hollande (lui soi-disant Monsieur « le changement, c’est maintenant »), en particulier obsédé par le Président Assad (3) et appréciant le »bon boulot » des terroristes d’Al Nosra, ce fut encore pire ! Ses pitreries, depuis les escapades la nuit, en scooter, pour voir sa maîtresse, jusqu’au rejet par les Français, conduisirent le piteux Président, abandonné de tous, à renoncer à se représenter.
Le Système songea d’abord à propulser Valls, longtemps présenté par les sondeurs bidons comme le « favori des Français », puis y renonça, face à l’impopularité d’un homme maladivement autoritaire, brutal, dur, caméléon, et lui chercha un remplaçant. Alain Juppé devint ainsi le soi-disant nouveau « favori des Français », toujours selon les mêmes sondeurs bidons et les merdias laquais, en dépit de ses casseroles. Mais quand on plaît au Système, les casseroles ne comptent pas. Et si un candidat n’est pas agréé, on lui trouve des casseroles, et elles font la Une.
Las ! L’inattendu se produisit, François Fillon fut choisi par les Français de Droite pour les représenter. Et Donald Trump fut élu. Basta les imprévus !
Lors de la Primaire de gauche, il n’était plus question de laisser un autre électron libre l’emporter, et M. Made in France Arnaud Montebourg fut ostracisé par les merdias de propagande, avant de devoir laisser la place à Manuel Valls qu’il n’était pas question de voir en 3e position (4, voir mon analyse). Le Système trouva un autre favori, Benoit Hamon, promu candidat « radical, de l’utopie, du rêve », même s’il présente un programme pro-guerre et sécuritaire aux Primaires du PS (5), pour le substituer à celui que les Français trouvaient le plus convainquant, Arnaud Montebourg, jugé par Lui trop indépendant, trop attaché à la France et pas assez à l’Europe, et à l’écart du Communautarisme du Peuple « Elu ».
Mais le « favori » Hamon n’est pas programmé pour gouverner la France, sinon d’abord, après avoir été lancé par les merdias laquais, pour supplanter Arnaud Montebourg, et ensuite pour restreindre le score de Jean-Luc Mélenchon, afin de tenter de dégager un boulevard pour celui que l’on veut désormais imposer aux Français, Macron l’homme de la Haute Finance Rothschild, de Minc et de sa mondialisation outrancière, d’Attali et de son Nouvel Ordre Mondial monstrueux, du MEDEF ennemi des travailleurs, de Bruxelles et de ses diktats, des Atlantistes et des sionistes. Et candidat favori du foulosophe BHL, du Dr Jekyll and Mr Hyde Kouchner, de Con-bandit, du sulfureux Jacques Lang, etc, bref avec tout un programme libertaire et va-t-en guerres ! Un beau scénario, dont les zones d’ombres, ou les probables scandales, sont tus par les merdias zélés : Ainsi, n’aurait-il pas financé sa campagne avec l’argent du Ministère de l’Economie ?
Source : zejournal.mobi/