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D’une nation glorieuse à une France communautariste, décadente et faillie

Publié par medisma sur 22 Novembre 2014, 22:54pm

D’une nation glorieuse à une France Communautariste, décadente et faillie

 

I- Thierry Meyssan sur l’hypocrisie des dirigeants français face aux décapitations d’otages

 

 

 

II- Bernard Cazeneuve déclare son "amour" à la communauté juive

 

Le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve au gala de Radio J le 19 novembre 2014 :

http://www.panamza.com/201114-cazeneuve

 

III- Mathias Cardet : Sur le rap, la religion et le lobby sioniste

 

Partie 1

Partie 2

Partie 3

 

IV- Affaires judiciaires sans issues : Ces affaires qui menacent Sarkozy et qui trainent en justice des années durant...
L’accusation de financement libyen de la campagne de 2007

Des juges du pôle financier enquêtent depuis avril 2013 sur des accusations de financement de la campagne de 2007 de Nicolas Sarkozy par le régime libyen de Mouammar Kadhafi, portées par Ziad Takieddine.  L’homme d’affaires, mis en examen pour son rôle d'intermédiaire dans des ventes d'armes dans le volet financier de l'affaire Karachi, n'a pas apporté de preuves. Plusieurs anciens dignitaires libyens ont affirmé que ce financement avait existé, sans fournir d'élément matériel, alors que d'autres anciens hommes forts du régime ont démenti. Nicolas Sarkozy a lui-même déposé plainte pour faux contre Mediapart, qui avait publié une note censée accréditer ce financement dans l'entre-deux-tours de la présidentielle de 2012. Une autre enquête est ouverte à ce sujet.

Soupçon de trafic d’influence

Dans le cadre de l'enquête sur ce possible financement libyen, l'enregistrement d'une conversation téléphonique entre Nicolas Sarkozy, placé sur écoute, et son avocat, Maître Thierry Herzog, a provoqué l'ouverture d'une information judiciaire le 26 février pour trafic d'influence et violation du secret de l'instruction. Dans leur conversation, les deux hommes évoquent un haut magistrat du parquet général de la Cour de cassation, Gilbert Azibert. Selon une source proche du dossier, il est question de le solliciter pour se renseigner sur une procédure en cours devant la Cour de cassation, qui vise à contester la saisie par des juges des agendas de l'ancien Président dans l'affaire Bettencourt. Agendas qui intéressent aussi les juges chargés de l'enquête sur l'arbitrage Tapie.

L’affaire Tapie

Trois juges du pôle financier enquêtent sur cet arbitrage qui a accordé 403 millions d'euros à Bernard Tapie en juillet 2008 pour régler son vieux litige avec le Crédit Lyonnais sur la vente d'Adidas. Les magistrats soupçonnent une entente illicite, un "simulacre d'arbitrage" pour favoriser l'homme d'affaires, avec l'aval de l'exécutif de l'époque. Cinq personnes ont été mises en examen pour "escroquerie en bande organisée", dont Bernard Tapie, l'un des juges arbitres Pierre Estoup et l'ancien directeur de cabinet du ministère de l'Economie, aujourd'hui patron d'Orange, Stéphane Richard. L'enquête démontre que Bernard Tapie s'est rendu plusieurs fois à l'Elysée avant la sentence litigieuse.

L’affaire Karachi

L'autre dossier où le nom de Nicolas Sarkozy est abondement cité est celui de Karachi et d'éventuelles rétro commissions (en marge de la vente de sous-marins au Pakistan) ayant financé la présidentielle de Balladur en 1995. Les juges ont demandé que Nicolas Sarkozy soit entendu comme témoin assisté par la Cour de Justice de la République. Ils ont aussi demandé sa saisine pour enquêter sur l’ancien Premier ministre Edouard Balladur et son ministre de la Défense, François Léotard.

Sondages de l’Elysée

Un juge enquête, depuis début 2013, sur la régularité des contrats conclus, sans appel d'offres, entre l'Élysée et neuf instituts de sondage sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy, notamment avec la société Publifact de son conseiller Patrick Buisson, contre qui l'ancien Président a porté plainte pour l'avoir enregistré à son insu.

 

Des pénalités réglées par l'UMP au lieu de Sarkozy

Les faits: • Après une dénonciation des commissaires aux comptes de l'UMP, une enquête préliminaire a été ouverte le 2 juillet 2014 sur la prise en charge par l'UMP d'environ 400.000 euros de pénalités infligées au candidat Sarkozy à la suite de l'invalidation des comptes de sa campagne de 2012 pour dépassement du plafond autorisé. L'enquête vise un éventuel «abus de confiance» au préjudice de l'UMP et le chef de «complicité et recel» de ce délit. Autrement dit, la justice devra déterminer si la prise en charge de ces frais par l'UMP est légale ou non.

Où en est-on? Le 7 octobre, le parquet de Paris a ouvert dans ce dossier une information judiciaire pour «abus de confiance», «complicité» et «recel» de ce délit. Quelques jours plus tard, le siège de l'UMP était perquisitionné. Cette affaire est de nouveau revenue au centre de l'actualité début novembre après les révélations de deux journalistes du Monde selon lesquels l'ancien premier ministre François Fillon se serait plaint auprès du secrétaire général de l'Élysée, Jean-Pierre Jouyet, de ce règlement par l'UMP, tout en le demandant de faire accélérer les procédures judiciaires en cours contre l'ex-président. Si le député de Paris a fermement démenti tout propos en ce sens, le parquet de Paris a lui fait savoir qu'il avait lancé cette enquête «au vu des seuls éléments» transmis «par commissaires aux comptes de l'UMP».

 

L'affaire des écoutes

Les faits: Cette affaire trouve son origine dans le placement sur écoute de Nicolas Sarkozy en avril 2013, dans le cadre de l'enquête sur un financement libyen supposé de sa campagne de 2007. Des échanges entre l'ancien président et son avocat, Me Thierry Herzog, laissent penser aux juges d'instruction qu'ils ont essayé d'obtenir des informations couvertes par le secret auprès du haut magistrat Gilbert Azibert sur une procédure concernant l'ex-président (la saisie de ses agendas dans l'affaire Bettencourt, ndlr). En échange, Nicolas Sarkozy aurait promis d'intervenir pour que Gilbert Azibert obtienne un poste de prestige à Monaco. L'ex-locataire de l'Élysée n'a toutefois pas obtenu gain de cause sur ses agendas, ni Gilbert Azibert le poste convoité.

Où en est-on? Placé en garde à vue début juillet - une première pour un ancien chef de l'État -, Nicolas Sarkzoy a été mis en examen pour «corruption active», «trafic d'influence actif» et «recel de violation du secret professionnel». Des délits passibles de peines pouvant aller jusqu'à dix ans de prison. Nicolas Sarkozy, qui a déposé des requêtes pour contester la procédure, pourra être renvoyé en procès ou bénéficier d'un non-lieu, comme dans le cas de l'affaire Bettencourt. Trois autres personnes ont été inculpées dans ce dossier: Thierry Herzog, Gilbert Azibert et un autre avocat général à la Cour de cassation, Patrick Sassoust.

L'affaire Bygmalion

Les faits: Partie de soupçons de surfacturation de prestations rendues à l'UMP, cette affaire éclate au lendemain des européennes du 25 mai. Elle vient jeter un voile sur les comptes de la dernière campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy. La société Bygmalion et Jérôme Lavrilleux, ancien bras-droit de Jean-François Copé à l'UMP et cheville ouvrière des meetings de l'ex-chef de l'Etat en 2012, reconnaissent qu'un système de fausses factures et de double comptabilité aurait servi à couvrir des dépassements de frais de la campagne de Nicolas Sarkozy. Bygmalion évoque 10 à 11 millions d'euros de fausses factures imputées à l'UMP, Mediapart, qui a fait son calcul d'après des documents auquel il a eu accès, parle lui de près de 17 millions.

Où en est-on? Des juges financiers sont chargés depuis fin juin d'une information judiciaire pour «faux et usage de faux», «abus de confiance» et «tentative d'escroquerie». L'enquête porte notamment sur la connaissance ou non d'un tel système par Nicolas Sarkozy, qui en a réfuté l'existence. Ses proches assurent qu'il n'était au courant de rien.

Soupçon sur un meeting à Toulon fin 2011

Une enquête préliminaire pour «détournement de fonds publics» a été ouverte en octobre 2013 par le parquet de Paris sur le financement d'un meeting de Nicolas Sarkozy, à Toulon fin 2011. Celui-ci n'avait pas été inscrit dans les dépenses de campagne, mais quasi-intégralement pris en charge par l'Élysée. Un procédé épinglé par le Conseil constitutionnel, qui a rejeté ses comptes de campagne début juillet 2013. Suite à cette mesure sans précédent, l'ex-chef de l'État avait été privé du remboursement par l'État de quelque dix millions d'euros (10,6 M) de frais de campagne.

Sources :  leJDD.fr et lefigaro.fr

 

 

V- Palestine : L’aveu de Benoît Hamon

 

L’objectif du projet de résolution : "récupérer notre électorat des banlieues et des quartiers"

 

Estampillé « gauche de la gauche », le député PS de Trappes Benoît Hamon, auteur du projet de résolution pour la reconnaissance de la Palestine, a reconnu :

« Cette résolution est tout à fait opportune sur le plan électoral. Il s’agit du meilleur moyen pour récupérer notre électorat des banlieues et des quartiers, qui n’a pas compris la première prise de position pro-israélienne de Hollande, et qui nous a quittés au moment de la guerre de Gaza. »

De son propre aveu, rapporté par Le Canard enchaîné du 19 novembre, ce texte n’est donc qu’une pure manœuvre électoraliste.

L’ultra-sioniste Premier ministre Manuel Valls, qui connaît le sujet pour avoir été l’un des plus fervents défenseurs de la Palestine lorsqu’il était maire d’Évry, a d’ailleurs commenté :

« Il devrait appeler ça la “résolution Trappes”. S’il croit qu’ainsi il aura plus de chance d’être réélu en 2017. »

Si la proposition de résolution socialiste invitant le gouvernement à reconnaître l’État palestinien sera votée le 28 novembre à l’Assemblée nationale, un vote aura également lieu au Sénat le 11 décembre suite à une résolution communiste sur le même sujet. Or le vote de l’Assemblée ou du Sénat, même s’il devait aboutir et faire la une des journaux, ne serait en réalité qu’une énième campagne de communication sans effet réel. En effet, ce vote ne vaudrait aucunement reconnaissance par le gouvernement.

Il ne s’agit donc que d’une opération cynique destinée à stopper l’érosion de l’électorat, qui touche les partis dits « de gauche » dans les banlieues. Et c’est son promoteur, Benoît Hamon, qui le dit.

Source : E&R

 

VI- Le panache français

Extrait du discours de Frédéric Winkler (Camelots du Roi) lors du Banquet Camelot du 26 mai 2013 :

 

VII - Francophonie et frères d’alliance

"La civilisation espagnole a écrasé l’Indien ; la civilisation anglaise l’a méprisé et négligé ; la civilisation française l’a étreint et chéri. »

Francis Parkman, historien américain

 

Jean-Marc Soyez, dans Historama, disait :

« Car il ne faut pas oublier que de tous les étrangers qui ont abordé ou aborderont en Amérique, les Français sont les seuls à y avoir été invités par les autochtones. »

 «La civilisation espagnole a écrasé l'indien ; la civilisation anglaise l'a méprisé et négligé ; la civilisation française l'a étreint et chéri » 
Francis Parkman, historien Américain

Jean Marc Soyez dans Historama disait : « Car il ne faut pas oublier que de tous les étrangers qui ont abordé ou aborderont en Amérique, les Français sont les seuls à y avoir été invités par les autochtones »

Tous ces héros oubliés dont les noms sonnent encore à nos oreilles : St Castin, Beausoleil, Dumas, Magdeleine, Piskaret, d'Iberville, Cadillac, Tsohahisen, La Vérandrye, Boishébert, Kateri Tekakwitha, Langy,... Et toutes ces victoires, La Monongahela, Corlar, Dover, William Henry, Carillon ou Ticonderoga et St Foy... Comment ne pas rappeler Pontiac, chef Ottawa, allié des français qui failli, en unissant les tribus Amérindiennes après le Traité de Paris, mettre les anglais à la mer !!!
N'oublions pas les Illinois, dont toute la tribu désirait embarquer vers la France, plutôt que de rester face aux britanniques. Ils savaient leur fin proche après le départ des français... Un vieil Ottawa dans les reportages de Kevin costner disait : « Avec les français, nous n'avions pas de problème, nos filles se mariaient avec eux...»

 

 

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