SCANDALE ! FILMÉ AVEC DES PROSTITUÉES ET DE LA DROGUE, LE LORD JOHN SEWEL DÉMISSIONNE
Des stupéfiants et des prostituées : tous les ingrédients étaient réunis pour obliger le président adjoint de la Chambre des lords, John Sewel, à démissionner de son poste qu'il occupait à la Chambre haute du Parlement britannique...
APRÈS LES LORDS PÉDOCRIMINELS, LES DROGUÉS AMATEURS DE PROSTITUÉES
Après l’inculpation du pédocriminel et homosexuel Lors Janner il y a quelques semaines, un nouveau scandale éclabousse « l’élite » britannique. John Sewel, membre de la Chambre des lords, a abandonné une partie de ses fonctions après la diffusion de photos le montrant en train de se droguer avec de la cocaïne, notamment en utilisant comme support pour la drogue le corps de l’une des deux prostituées embauchées ce jour-là, et un billet pour mieux « sniffer ».
Le travailliste, ancien ministre de Tony Blair, avait pourtant il y a peu participé à l’élaboration d’une loi visant à sanctionner les députés déshonorant leur fonction. Ce qu’il n’a pas manqué de faire en utilisant, pour se droguer et coucher avec deux prostituées, un appartement de fonction payé par le contribuable britannique. Rappelons qu’en France, la pratique des « nièces » au sein même du Sénat est connue de tous sans la moindre réaction des autorités.
Il était jusqu’à sa démission le vice-président de la Commission de l’immunité et de la tenue (Committee for Privileges and Conduct), chargé d’examiner… la bonne tenue et le bon comportement des Lords et le bon usage de leurs indemnités.
« Les membres de la Chambre des lords sont de vrais voleurs, des voyous, des salauds par moments. Quels gens merveilleux ! »,
se plaint-il dans une vidéo tournée avec les deux prostituées et diffusée depuis par les médiats britanniques.
Par ailleurs, le médiat britannique Express a révélé qu’il y avait eu en 2015 207 000 tentatives de connexion à des sites pornographiques depuis les ordinateurs du parlement britannique. Le tout réalisé avec du matériel payé par le contribuable britannique, pendant le temps où les députés et leurs équipes sont payées pour, normalement, gérer les affaires du pays.
Source : http://www.jeune-nation.com