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Tout Savoir sur l’arnaque climatique !

Publié par medisma sur 28 Novembre 2015, 20:40pm

Tout Savoir sur l’arnaque climatique !

La gigantesque arnaque sur le climat : une escroquerie manifeste, une  peur exponentielle

 Penser qu’on va tous mourir dans d’effroyables tempêtes tient davantage du conte pour enfants que de la réalité scientifique.

La communication gouvernementale sur l’environnement veut vous faire paniquer. Méfiez-vous !

 

I- Comment le GIEC (Groupe Intergouvernemental pour l’Étude du Climat) a organisé un gigantesque transfert d’argent de tous les citoyens vers quelques bénéficiaires…

La Conférence de Paris sur les changements climatiques s’ouvre demain et, inévitablement, les journaux se remplissent de nouvelles alarmantes sur les changements climatiques.

À l’aube de cette Conférence internationale sur le climat de Paris (COP21), les déclarations alarmistes se succèdent à un rythme effréné, entretenu par la colossale machine de propagande de l’ONU. Rien ne nous est épargné, ni la sècheresse et les feux de forêts en Californie, ni le dernier ouragan traversant l’Asie. Tout événement météorologique pouvant inquiéter un tant soit peu le public est immédiatement relié au changement climatique anthropique.

Dans une récente interview sur La Première (RTBF), le vice-président du GIEC (Groupe Intergouvernemental pour l’Étude du Climat), le Professeur Jean-Pascal van Ypersele, n’a pas hésité à nous promettre l’apocalypse finale : des sécheresses et des pluies extrêmement intenses, des récoltes de céréales en chute libre, une montée catastrophique du niveau des océans… et de blâmer le CO2 produit par l’homme. Et d’exiger que l’on arrive à une décarbonisation totale de notre société d’ici 2100 ! Sinon, la température de la Terre augmentera de plus de 2°C, niveau au-delà duquel une fin atroce nous attend.

Le vice-président du GIEC semble ignorer (?) que cette limite de +2°C dans l’élévation de la température moyenne de notre planète ne repose sur aucune preuve scientifique. Ce chiffre a été lancé par des climatologues allemands dirigés par le Pr Schellnhuber, directeur du Potsdam Institute for Climate Impact Research, sous la pression d’Angela Merkel. Plus tard, le Pr. Schellnhuber déclarera : « Cette limite de +2° n’a rien de magique ; c’est seulement un but politique. Le monde ne disparaîtra pas immédiatement, même en cas de réchauffement plus puissant ».
Cette déclaration n’émeut pas notre vice-président qui poursuit : « Si on continue le train de développement actuel sans rien modifier, nous arriverons probablement à +4 ou + 5° de plus et ce sera catastrophique pour bien des populations ». De nouveau, il semble ignorer (?) que de nombreuses publications scientifiques récentes revoient à la baisse l’impact du réchauffement dû au doublement de la quantité de CO2 atmosphérique. Le Pr Jean Jouzel, également vice-président du GIEC, affirmait récemment que le réchauffement observé de la Terre était de l’ordre de 0,01°C par an ! D’ici 2100, la Terre verrait sa température augmenter de 0,85°C si rien ne changeait. On est loin, très loin, des +2°C politiques et des +4 à +5°C extravagants issus des modélisations les plus folles. La non-fiabilité des modèles climatiques a été clairement dénoncée par Hans von Storch, l’un des plus éminents climatologues allemands, qui n’hésite pas à déclarer : « Les modèles climatiques sont faux à plus de 98% ! » Et pourtant, ce sont les résultats erronés de ces modèles non fiables qui servent de base de travail aux décideurs politiques.

Le coupable est, évidemment, le CO2 émis par l’homme, et uniquement celui-là. Rappelons qu’il n’y a aucune preuve scientifique de l’influence du CO2 sur la température du globe. Au contraire, toutes les études indiquent que, durant les 400.000 dernières années, la variation de la concentration en CO2 atmosphérique a toujours suivi les fluctuations de la température, jamais l’inverse. Tandis que la quantité de CO2 émise par l’homme ne cesse de croître depuis l’ère industrielle, un refroidissement climatique important a été observé de 1942 à 1975, menant certains à prédire l’imminence d’un nouvel Âge Glaciaire. Depuis presque 19 ans, la température moyenne de la Terre n’a pas augmenté d’un iota. Durant cette période, 1/3 du CO2 produit par l’homme a été émis dans l’atmosphère. Si le CO2 avait un effet quelconque sur la température, nous l’aurions déjà observé, non ?

Toutes les prédictions effectuées par les climatologues modélisateurs se sont toujours révélées erronées. Toutes, sans exception ! Le nombre et la violence des ouragans a diminué au lieu d’augmenter, les glaces en Antarctique ne cessent de croître depuis près de 30 ans, la banquise arctique qui devait disparaître depuis 2008 est toujours là et elle récupère admirablement, la vitesse de montée des océans a fortement diminué, les ours polaires qui étaient en voie de disparition ont vu leur population multipliée par 7 depuis 1970 et la planète a verdi de 21%, en partie grâce à la croissance du taux de CO2 atmosphérique. Au contraire des affirmations du Pr van Ypersele : « Dès 1° de plus, la production de céréales comme le blé ou le riz est menacée », de nombreuses études effectuées en champ et sous serre montrent que le blé et le riz prospèrent lorsque le taux de CO2dans l’atmosphère et la température augmentent (jusqu’à 600 ppmv et +3°C) ! Signalons qu’il existe aussi de multiples variétés de blé et de riz résistantes à ce type de stress.

Quant aux énergies renouvelables, prônées par le vice-président du GIEC, elles ne sont pas compétitives avec les énergies fossiles et nucléaires. Sans les gigantesques subventions étatiques payées par les contribuables, ces énergies intermittentes au coût exorbitant n’auraient jamais vu le jour. Pourtant, il s’obstine à recommander ces solutions inopérantes qui, non seulement appauvrissent la population (plus d’un million d’Allemands sont incapables de payer leurs factures énergétiques) mais risquent de renvoyer à la pauvreté un nombre croissant de nos frères humains. Le scandale du transfert des taxes des pauvres vers les plus nantis, qui peuvent se payer des panneaux solaires et des Tesla S, des compagnies électriques qui s’enrichissent grâce aux certificats verts, et des banques qui prennent au passage leur obole, n’a que trop duré. Le GIEC a organisé, avec la complicité de certains politiques, un gigantesque transfert d’argent de tous les citoyens vers quelques heureux bénéficiaires. C’est une honte éthique… Le pire est que cela a été orchestré par des partis dits de gauche.

Qu’il est triste que la climatologie, cette jeune et belle science, soit ainsi dévoyée à des visées politiciennes et au dogmatisme idéologique.

Par István E. Markó

 

II- Climat : mythes, peur exponentielle et réchauffement fiscal

 Benoît Rittaud, professeur de mathématiques à l’université Paris XIII et habitué de nos colonnes, a donné une conférence à l’Assemblée nationale sur la peur exponentielle dans le domaine du réchauffement climatique. Elle s’inscrit dans le cadre du collectif des climato-optimistes(le nom pourrait évoluer dans les prochaines semaines), qui vise à porter la contradiction aux thèses défendues par le GIEC d’ici la COP21, pour en limiter les effets potentiellement désastreux.

Qu’est-ce que la peur exponentielle ?

Nous invitons les lecteurs qui voudraient approfondir la question à se reporter à la lecture des articles suivants (celui-ci et celui-là). Nous pouvons résumer ce concept en expliquant qu’il s’agit d’un néo-malthusianisme, fondé sur l’idée que les progrès économiques et techniques, sans cesse en accélération, devraient finir par se heurter à la réalité d’un monde aux ressources limitées, provoquant l’effondrement de la civilisation.

À travers quatre idées largement répandues sur la question climatique, Benoît Rittaud va prendre des données officielles et montrer qu’elles sont ainsi largement exagérées, voire mensongères.

Sur la question du réchauffement en lui-même

Courbes satellitaires à l’appui (produites par l’Université d’Alabama), Benoît Rittaud remarque une tendance au réchauffement, légère mais indiscutable, d’environ un degré par siècle (graphique 1), inférieur au rythme de deux degrés considéré par le GIEC comme le maximum à ne pas franchir. Deux constats peuvent être tirés de ce graphique. D’une part cette tendance ne connaît aucune accélération particulière ces 30 dernières années par rapport au début du siècle, comme le montre le même graphique sur une plus longue période, et ce malgré la quantité sans cesse plus importante de carbone et autre gaz à effet de serre rejetés dans l’atmosphère. D’autre part, on observe le fameux « plateau » qui a été abondamment discuté, et qui selon certains serait le signe d’une pause dans le réchauffement depuis environ 17 ans.

En longue période (graphique 2), on peut donc tirer le même constat. Entre 1910 et 1940, il se produit un réchauffement régulier ; selon Benoît Rittaud, il est peu probable que les humains en soient responsables, du fait de la faiblesse relative des émissions de GES. La hausse passée est très voisine en durée et en intensité de celle observée depuis 1970, malgré des émissions de carbone bien inférieures à ce qu’elles sont aujourd’hui. Il y a même une période de stagnation entre 1940 et 1970, en pleine période d’industrialisation occidentale.

Bien entendu la lecture d’un ou plusieurs graphiques ne constitue en aucun cas une preuve scientifique permettant d’affirmer ou d’infirmer la cause anthropique du réchauffement. « Ce qui compte, c’est la mise au jour d’un mécanisme climatique précis et irréfutable qui permette de comprendre précisément l’interaction des différents éléments en jeu. Or, s’il existe sur ce point de nombreuses pistes de réflexion, aucune n’est capable d’expliquer de manière indiscutable pourquoi la terre se réchauffe », explique Benoît Rittaud.

Seconde question, le niveau des océans

La hausse mesurée est équivalente à environ 30 cm par siècle (Church, J. A., and N. J. White (2011), « Sea-level rise from the late 19th to the early 21st century », Surv. Geophys., 32, 585–602, doi:10.1007/s10712- 011-9119-1) si l’on observe depuis 1980. D’autres données (graphique 3) de plus longue période montrent une élévation d’environ 20 cm par siècle. Ceci pourrait laisser penser précisément à une accélération en fin de période, mais il n’en est rien car les deux données ne reposent pas exactement sur la même base. On remarque une très grande régularité de la tendance, qui ne montre aucune accélération particulière quelle que soit l’échelle de temps considérée. « Nous sommes en présence d’un phénomène qui s’étale sur le temps long et qui ne démontre aucune implication spécifique de l’être humain sur cette évolution ». Il faut donc bien s’attendre à une élévation du niveau des mers pour le siècle en cours, mais il n’y a aucune raison de penser que l’être humain ne saura pas s’y adapter, comme il l’a fait au siècle précédent.

La banquise fond. Peut-être mais laquelle ?

Chaque année émergent de nouvelles craintes de disparition de la banquise Arctique en été. S’il s’est effectivement produit une chute de son étendue de 1996 à 2007, celle-ci ne se poursuit plus depuis. Rappelons qu’Al Gore avait prédit la fin de la banquise d’ici 2013, ce qui ne s’est pas produit. Il est malheureusement impossible de connaître l’état de la banquise avant le début du XXe siècle, même s’il existe un certain nombre de témoignages parcellaires des navigateurs.

Ce qui est certain en revanche est que la banquise Antarctique n’a jamais été aussi grande depuis les mesures du début du XXème siècle. Plus important encore, la somme de la perte et de la hausse donne une très grande stabilité. Le décrochage vers le bas de 2007 à 2012, utilisé par les réchauffistes comme élément de preuve a été rattrapé depuis.

Autre élément souvent cité, la fréquence des événements extrêmes

À chaque événement un peu violent, est mis en cause le réchauffement. Celui-ci serait responsable d’une augmentation significative des « dérèglements climatiques », provoquant tempêtes, cyclones, et même tremblements de terre comme n’hésitait pas à l’affirmer François Hollande lors de sa visite aux Philippines. Il n’en est pourtant rien. Si l’on traduit ces événements en termes d’énergie dégagée, et que l’on observe depuis 1970, on obtient le graphique suivant :

Comment avec des faits nets peut-on faire naître la peur climatique ?

En 2014, a été rendu à la ministre Ségolène Royal un rapport rédigé sous la direction de Jean Jouzel,Climat de france au XXIème siècle. Et, comme d’habitude, le chiffre le plus alarmant a été retenu, à savoir un potentiel réchauffement de 5° pour l’été 2100. Le rapport présente plus en détail 3 scénarios possibles en fonction de la concentration en carbone ; et Benoît Rittaud y pointe un certain nombre d’incohérences. En particulier, les scénarios les plus réchauffistes ne sont pas ceux où la concentration en carbone est la plus importante, comme l’indique ce tableau extrait du rapport :

Un autre raccourci étonnant effectué par les rédacteurs, est celui de la carte de France du climat d’ici la fin du siècle. L’un des modèles présente un axe de réchauffement Nord/Sud, un autre présente un axe Est/Ouest, ce qui, dans la synthèse, donne : « les modèles s’accordent sur la répartition croissante de l’augmentation de température selon un axe Nord-Ouest/Sud-Est… »

Et la peur exponentielle dans tout ça ?

Benoît Rittaud termine sa conférence par un certain nombre d’extraits de discours, d’articles etc. venus de tous horizons et qui ont en commun d’être produits par des personnes exprimant leur crainte des conséquences du développement humain sur le climat. Les quelques extraits suivants sont très proches sur le fond :

  • Le pape François, dans son encyclique « Laudato si’ » : « l’accélération continuelle des changements de l’humanité et de la planète… »… « cela suppose le mensonge de la disponibilité infinie des biens de la planète, qui conduit à la ‘presser’  jusqu’aux limites et même au-delà des limites. »
  • Philip Abelson, Science (1968) : « notre ennemi le plus dur est l’inexorable exponentielle. »
  • Robert Lattès, préface à Halte à la croissance ? (1972) : « nous sommes impitoyablement menacés par ces phénomènes multiplicateurs qui, tels les neutrons d’une bombe atomique ou les cellules d’un cancer, engendrent en tout la saturation. »
  • Donella Meadows, The Global Citizen (1991) : « la raison pour laquelle les environnementalistes sont souvent si sombres, c’est qu’ils savent ce que le mot exponentiel signifie. »

Les exemples sont légion qui montrent que cette vieille peur de la croissance trouve sa plus belle expression dans la lutte contre le réchauffement climatique. De plus en plus irrationnelles, ces prises de position ne sont malheureusement pas sans conséquence. Alors que le « marché du climat » est estimé à plus de 47.000 milliards de dollars d’ici la fin de siècle, gageons que si rien n’est fait pour s’opposer à ce nouvel obscurantisme, nous allons assister à un véritable réchauffement… fiscaliste.

Conférence de Benoît Rittaud à l'Institut Turgot (Paris) le 29 juin 2015 sur le thème "Mythe climatique et peur exponentielle".

contrepoints.org

 

III- Oui, le réchauffement climatique est bel et bien une escroquerie

 

IV- le GIEC (Groupe Intergouvernemental pour l’Étude du Climat) ne sait plus comment mentir

Le CO₂ n'est pas un polluant, il est essentiel à la Vie. De plus on constate une décorrélation évidente entre l'augmentation du CO₂ et la courbe de la température globale qui n'augmente plus depuis une quinzaine d'année dans la troposphère.
Un débat entre François Gervais et Jean Jouzel qui confond Arctique et Antarctique.

 

V- CO2 : L'arnaque du réchauffement climatique

 

VI- La grande arnaque du réchauffement climatique 

 

Ecoutez les mathématiciens, physiciens, scientifiques et autres spécialistes de grand talent. 

Mais jamais les politiciens, ces savants menteurs et à aucun moment crédibles !

Tout Savoir sur l’arnaque climatique !
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S
Un excellent article ! Merci pour le partage ainsi que toutes ce précisions. Certaines sont techniques mais ont le mérite de mettre en avant vos propos. Merci
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