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Le Monde : D’un média de référence à un média-mensonge ?

Publié par medisma sur 28 Mai 2013, 22:13pm

Le Monde : D’un média de référence à un média-mensonge ?

I- Mise en garde contre la propagande de guerre

Le 5 mai 2013, la chaîne RMC Découverte a diffusé un documentaire canadien sur la propagande utilisée pour préparer le grand public à la guerre contre l’Irak. Propagande relayée à l’époque par les médias traditionnels sans la vigilance et le regard critique prônés aujourd’hui. Mais qu’en est-il de cette vigilance et de ce regard critique au sujet de la version officielle des attentats du 11-Septembre ?

Le documentaire est présenté par Catherine Mercier avec la participation de l’historien français Fabrice d’Almeida.
 

Retour sur des événements qui ont fait la Une de l'actualité et qui ont semé le trouble dans le monde.

II- Robert Fisk : non, bachar El Assad ne veut pas gazer son peuple !

 

Avec Seymour Hersh qui officie au New-Yorker et qui veille aux dérives du Pentagone et de l’Executif américain, il est sans doute le journaliste d’investigation anglo-saxon le plus respecté de sa profession. Robert Fisk nous livre ici (1) sa profonde lassitude d’assister incrédule à une succession de campagnes de dénigrement absurdes contre Bachar El Assad, les mêmes qui firent la honte de l’Occident au moment de l’invasion de l’Afghanistan, puis de l’Iraq, puis de la Libye. Rappelez-vous : Pas de grottes perfectionnées dans les montagnes de Tora Bora, pas d’ADM en Iraq, ni de liens avec les pirates du 11/9 (16 saoudiens – ennemis jurés de l’Iraq ) , et pas de chars devant Benghazi (les français en ont détruit 4, les russes photographié 6, et le pleutre BHL en avait annoncé 200).

Rappelez-vous aussi, tandis que nous aidons une pseudo-rebellion syrienne qui détruit le patrimoine culturel inestimable de la Syrie, que le département d’Etat US avait fustigé les talibans pour leur destruction des Bouddhas de Bamiyan. mais que ce même département d’Etat n’avait vu aucun inconvénient au pillage du musée archéologique de Bagdhad, situé à quelques encâblures du siège ultra protégé de l’Iraq National Oil et de l’Iraq Petroleum, ni à la destruction de toutes les bibliothèques municipales de toutes les provinces irakiennes.

Peut-être que dans leur grand mépris des peuples, les stratèges du Pentagone et de l’OTAN en sont-ils arrivés à mépriser la mémoire même de leurs propres peuples pourtant peu dupes. Après tout, les affaires internationales concernent si peu le peuple français, que les ex-candidats Sarkosy et Hollande ne les ont même pas abordées lors de leur pseudo-joute télévisée animée par M. Pujadas.

Comme M. Fisk, nous souffrons avec le peuple syrien et appelons d’urgence à une solution négociée appuyée par l’envoi massif d’une force d’interposition sous mandat de l’ONU chargée avant tout de désarmer. Si les rangs des pacifistes étaient clairsemés derrière le cortège funèbre de Jaurès, et si l’opposition pacifiste syrienne se fait décimer par la rebellion surarmée et les médias indifférents à son sort, nous ne "désarmons" pas pour autant. L’heure est grave. L’alliance pour la guerre avance. Puisse cette traduction trouver le chemin des consciences du plus grand nombre qui la diffuseront largement, jusqu’à gagner les ors de l’Elysée.

 

(1) Robert Fisk est le correspondant à Beyrouth du journal britannique The Independent. Il est considéré, à juste titre, par le Financial Times, comme « l’un des plus remarquables reporters de sa génération ». Ouvrages récents : La Grande Guerre pour la civilisation : l’Occident à la conquête du Moyen-Orient (1979-2005), La Découverte, 2005 et Liban, nation martyre, Editions A&R et du Panama, 2007 

 

III- Syrie – armes chimiques : « Le Monde » de Colin Powell ou de Nayirah ?

A quoi joue Le Monde, honnêtement ?

 

 

Les journalistes du Monde, revenus de Syrie, sont sûrement des professionnels de la presse, mais l’histoire retiendra qu’ils auront été la caution morale dont les pays occidentaux avaient besoin pour intervenir « officiellement » aux côtés des rebelles syriens. En ramenant des « preuves irréfutables » accusant Bachar Al-Assad d’utiliser des armes chimiques, ils participent au choc psychologique nécessaire pour permettre d’identifier, dans tout conflit, le « méchant » à combattre à tout prix, et le « bon » aux côtés de qui il faut absolument se ranger. Reste que, sciemment ou pas, ces « révélations » rappellent les scénarios précédant l’entrée en guerre de l’Occident contre des pays arabes (et autres).

Un de ces scénarios, sûrement la mise en scène la mieux élaborée de l’histoire des guerres modernes, s’est produit à New York le 10 octobre 1990. Une jeune koweitienne dénommée Nayirah témoigna, larmes aux yeux, devant le Congrès américain pour décrire les atrocités que les troupes de Saddam Hussein faisaient subir aux populations koweitiennes.

« … j'ai vu les soldats irakiens entrer dans l'hôpital avec leurs armes. Ils ont tiré sur les bébés dans les couveuses, ils ont pris les couveuses et ont laissé mourir les bébés sur le sol froid… »[1]

Des bébés tués dans les couveuses… Il fallait absolument intervenir militairement contre le dictateur irakien. Sauf qu’il s’avéra, après la guerre, que le témoignage de la jeune femme était entièrement faux.

Sur le conflit syrien, heureusement, on est à peu près informé sur le déroulement des opérations, les dirigeants occidentaux en premier. Nos « barbouzes » parcourent le monde depuis des décennies et nous rapportent des renseignements extrêmement fiables. Tous les jours, ils glanent de précieuses informations et sont en mesure de mettre la main sur le moindre secret du plus inconnu des dirigeants politiques à l’autre bout de la planète.

Avec les moyens modernes (satellites), les états-majors, en Occident, et les différents services secrets sont au courant de l’armement dont dispose Bachar Al-Assad et les rebelles qui le combattent. Ils savent que les deux camps disposent des armes chimiques et suivent le déroulement de la guerre comme devant un jeu vidéo.

En tout cas, on sait, depuis plusieurs mois que les rebelles syriens utilisent des armes chimiques contre l’armée loyaliste. Des personnalités de haut rang comme l’ancienne Procureur du Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie, Carla del Ponte[2], ont déjà publiquement dénoncé l’utilisation des armes chimiques par les rebelles syriens. Tout le monde, à l’époque, s’était tu, du moins dans les rangs des autorités…

Et tout d’un coup, on feint d’apprendre que les armes chimiques sont utilisées dans le conflit syrien. Dans une curieuse précipitation, l’Union européenne lève l’embargo sur les armes en destination de la Syrie.

On va donc ouvertement armer les rebelles syriens (leur fournir quel type d’arme ?) et, peut-être, envoyer des troupes occidentales contre Bachar Al-Assad. Ce sera une guerre juste, parce qu’il s’agit de combattre un dictateur qui utilise des armes chimiques contre son propre peuple.

On en rirait s’il n’y avait pas mort d’hommes.

En réalité, dans le conflit syrien, la question n’est pas de savoir qui utilise les armes chimiques, mais plutôt qui a été le premier à les utiliser.

La réponse est d’une banalité ludique. Il suffit de dérouler le fil de l’actualité sur le web…

Les journalistes du Monde n’aurait jamais dû se prêter à ce genre de scénario et servir, peut-être en toute innocence, de caution aux motivations guerrières des dirigeants occidentaux désireux d’orienter l’actualité sur autre chose que la crise.

Boniface MUSAVULI

http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/syrie-armes-chimiques-le-monde-de-136460

[1] http://www.youtube.com/watch?v=LmfV...

[2] http://www.lemonde.fr/proche-orient...

 

IV- Syrie : Armes médiatiques contre l’opinion publique

 

 

Le Monde a publié un témoignage affirmant que l’armée syrienne fait usage d’armes chimiques contre la rébellion armée et la population civile. Cette affirmation a ensuite été reprise par la plupart des grands médias, sans sourciller. Cependant, il est fort probable qu’il s’agisse, une fois de plus, d’une campagne de manipulation de l’opinion publique pour un soutien à une intervention militaire.

La guerre médiatique sur ce qui se passe en Syrie a franchi un nouveau palier. Selon des informations rapportées directement du terrain par le reporter Jean-Philippe Rémy et le photographe Laurent Van der Stockt, qui ont séjourné pendant deux mois en Syrie :

"Des gaz toxiques provoquant des cas d’étouffement jusqu’à la mort sont employés par les forces du régime syrien contre la rébellion armée et la population civile."

Notons tout d’abord le fait que le régime syrien n’a pas la volonté, ni l’intérêt, de viser la population civile. Si celle-ci était visée depuis les deux dernières années, le régime d’El-Assad serait tombé. Bien au contraire, le régime a le soutien d’une grande partie de la population, même par des groupes religieux minoritaires.

Le 13 avril 2013 notamment, suite à des attaques chimiques des combattants "ont commencé à tousser, puis s’accroupir, suffoquer et vomir". Le photographe du Monde lui-même "souffrira, quatre jours durant, de troubles visuels et respiratoires". "Les victimes éprouvent des souffrances atroces, dont les symptômes ressemblent à ceux d’un empoisonnement au gaz sarin."

La vidéo proposée par Le Monde montre des rebelles qui s’équipent de masques à gaz pour faire face aux attaques chimiques, et probablement de gaz sarin selon les journalistes.

Cependant, selon les informations données par Wikipedia, "le gaz sarin est absorbée par la peau d’où il passe directement dans le sang. L’exposition au sarin aboutit la plupart du temps à la mort, et elle laisse toujours de graves lésions et séquelles neurologiques permanentes chez ceux qui y survivent."

La question est donc : s’agissait-il véritablement de gaz sarin ? Ou bien, d’un agent lacrymogène, qui possède des effets sur le corps comparables à ceux décrits par le reporter, allant jusqu’à la mort parfois.

Comme ils l’affirment eux-mêmes, "Le Monde ne détient pas la preuve irréfutable d’un recours à des armes chimiques en Syrie." Cependant, le message est distillé de telle manière qu’il n’y a, au fond d’eux, aucun doute. Si peu de doutes, que les médias se sont empressés de relayer l’information, sans changer un iota.

"Seule une expertise scientifique, à partir d’échantillons, peut être en mesure d’établir sans l’ombre d’un doute l’emploi de substances spécifiquement prohibées par la convention sur l’interdiction des armes chimiques."

"Une question s’impose : si des journalistes ont réussi à enquêter sur place, comment expliquer que des dirigeants occidentaux, censés pouvoir recouper les données de leurs services de renseignements, n’aient formulé à ce jour aucune conclusion claire sur l’emploi d’armes toxiques en Syrie ?"

Pourtant, la Syrie a invité l’ONU à venir immédiatement constater l’usage d’armes chimiques par les rebelles, un usage reconnu par Carla Del Ponte, ancienne procureur à la Cour pénale internationale, qui se base sur une enquête de l’ONU, et désavoué peu de temps après.

"Bachar Al-Assad en profite. L’absence de réactions extérieures – en dehors de récents raids israéliens – l’encourage à aller toujours plus loin."

Bien que Le Monde semble l’ignorer, les interventions extérieures sont nombreuses depuis les 18 derniers mois déjà. Le New York Times a par exemple rapporté l’envoi d’armes par les Etats-Unis aux rebelles syriens par l’intermédiaire de ses alliés, principalement par l’Arabie saoudite et le Qatar. Tout récemment encore, on pouvait apprendre que les Etats-Unis allaient verser 250 millions de $ aux rebelles syriens. La France, elle, aide également les zones contrôlées par les insurgés.

Voilà donc une nouvelle fois, la tactique d’un pouvoir médiatico-politique prêt à tout pour manipuler l’opinion publique sur la situation en Syrie. Cette manipulation est à l’œuvre dans de nombreux pays occidentaux, et n’a cessé de s’intensifier depuis les derniers mois.

Il est intéressant de voir que l’usage d’armes chimiques, bactériologiques, radiologiques, de destruction massive, prohibées au niveau international, ne choque pas lorsqu’il s’agit des Etats-Unis, qui pulvérisent des substances radioactives sur de grandes villes américaines et font usage d’armes à uranium appauvri sur leurs différents théâtres d’opérations, ou lorsque Israël utilise du phosphore blanc contre Gaza.

Ne prenez pas cet article pour la vérité. Posez-vous des questions. Faites vos propres recherches et fuyez le prêt-à-penser.

Par lejournaldusiecle

V- Syrie - Armes chimiques : le journal LeMonde atteint du syndrome du « deux poids, deux mesures »

Dans son édition du lundi 27 mai 2013, le journal  LeMonde  rapporte  que  les forces de Bachar al Assad font usage d'armes chimiques dans la région de la capitale syrienne de Damas.

Face à l'avancée décisive des troupes syriennes dans le bastion rebelle de la région de Qousseir, le rapport de force syrien semble tourner à l'avantage du régime de Bachar Al-Assad. Dans une stratégie jusqu’au-boutiste de déstabilisation de la Syrie, les forces otaniennes semblent vouloir tirer leurs dernières cartouches médiatiques afin de diaboliser le régime et inverser la tendance pour justifier une intervention "humanitaire".

Rappelons que début mai 2013, Carla Del Ponte, membre de la Commission d'enquête internationale de l'ONU sur les violations des droits de l'homme en Syrie, avait déclaré que l'usage d'armes chimiques devait être imputé aux rebelles syriens.

Une déclaration aussitôt suivi d'un désaveu de ses pairs aux Nations Unies.

Le journal LeMonde adopterait-il la position du "deux poids deux mesures", en ne donnant pas le même battage médiatique entre ces deux positions ?

Le journal LeMonde est-il mieux placer pour établir les responsabilités dans ces événements qu'une grande magistrate internationale, mandatée pour réaliser de telles investigations ?

Encore une fois la mouvance otanienne fait fi du respect du droit international et s'enfonce jour après jour dans des affirmations hasardeuses pour justifier une intervention sur le territoire syrien.

En attendant, Moscou fait preuve d'une diplomatie intelligente et sortira probablement comme le grand gagnant de ce bras de fer international, en soutenant avec force le respect de la souveraineté syrienne.

 Maurice, pour le Cercle des Volontaires

 

VI- Armes chimiques : Quand “le Monde” s’y met à son tour

 

 

Voilà que le journal français “Le Monde”, qui a déjà perdu de sa superbe depuis des lustres, depuis qu’il n’appartient plus aux journalistes mais aux forces de l’argent, vient à la rescousse du gouvernement français affirmant avoir été témoin d’attaques chimiques “dans le faubourg de Jobar, à moins de 500 mètres de la place des Abbasides”, non loin du centre de la capitale syrienne. Est ce sérieux ? est-ce crédible ? des armes chimiques en plein centre de Damas ? de qui se moque “Le Monde ?

Le président Bachar Assad déclarait récemment à juste titre ”Ces déclarations de nos ennemis relatives aux armes chimiques changent tous les jours. Les armes chimiques sont des armes de destruction massive. Ils disent que nous les avons utilisé dans des zones résidentielles. Si je vous dis qu’une bombe nucléaire a été larguée sur la banlieue et qu’au nombre des victimes il y en a dix ou vingt personnes, vous allez me croire ? L ‘utilisation des armes chimiques dans les zones résidentielles signifie des milliers ou des dizaines de milliers de personnes tuées en quelques minutes. Qui pourrait cacher une telle chose ? ”

Israël, les Etats-Unis et la Turquie qui ont des agents de renseignements présents sur le territoire syrien et qui suivent la situation minute par minute, avec des moyens considérables, écoutes, satellites, agents infiltrés… ont essayé cette fable des armes chimiques utilisées par l’armée syrienne mais sans conviction ni surtout des preuves irréfutables.

Le quotidien français à la suite de RFI, BFMTV, I Télé et de la presse de l’hexagone en général ont ouvertement pris, depuis le début de ce conflit, le parti des mercenaires islamistes en propageant d’une manière massive et éhontée les thèses des terroristes jihadistes, proférant mensonges, contre vérités, fabulations…

Cette presse française participe d’une stratégie médiatique mondiale, élaborée dans les laboratoires du Mossad (Israël), de la CIA (USA), du MI5 (GB), de la DGSE (France), du MIT (Turquie)…consistant en une vaste opération d’intoxication médiatique et de manipulation de l’opinion internationale de grande ampleur : Imputer au gouvernement syrien les massacres commis par les mercenaires, exactement comme en Algérie durant la décennie rouge avec le fameux “qui tue qui”, l’accuser de sévices et de tortures, de crimes contre l’humanité, de bombardements de civils etc…

Et pour donner de la crédibilité aux informations fabriquées dans ces laboratoires, ces mêmes services ont créé, le prétendu Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), qui se se résume en fait à un seul homme, Rami Abdelrrahmane, opposant exilé depuis longtemps résidant à Coventry en Grande Bretagne, chargé de donner des informations et des bilans chiffrés des victimes. L’OSDH est devenu la principale source des médias à l’étranger.

Aujourd’hui après plus de deux ans de conflit, l’armée syrienne reprend l’initiative sur le terrain, libérant une à une les régions contrôlées par les mercenaires leur faisant subir des pertes telles que la plupart des observateurs commencent à douter de leurs capacité à tenir longtemps face au rouleau compresseur de l’armée syrienne, qui soit dit en passant composée dans sa majorité de sunnites.

“Le Monde” essaie d’imposer, dans une frénésie moutonnière, une vision illusoire, déformée, irréelle et falsifiée du conflit en Syrie en proférant un bobard qui ne tient pas la route et qui démontre le peu de sérieux et la stupidité de ce quotidien, confiné à voler au ras des pâquerettes.

Khidr Omar

 http://www.algerie1.com/actualite/armes-chimiques-quand-le-monde-sy-me... / legrandsoir.info

 

VII- Le journal le monde tente à nouveau de nous refaire le coup des "armes de destruction massive" qui a permis d'envahir l'Irak en 2003 !

 

Le journal le monde "chien de garde des USA" tente à nouveau de nous refaire le coup des "armes de destruction massive" qui a permis d'envahir l'Irak en 2003 !

C'est tellement gros qu'on y croit très fort !

Nos chers médias alignés vont se faire un plaisir de nous repasser l'info en boucle et l'on attend avec impatience l'apparition de nos guerriers Fabius et Hollande la tête à l'envers demandant l'exécution du président Assad !

« Une attaque chimique sur le front de Jobar, à l'entrée de la capitale syrienne, cela ne ressemble d'abord à rien.

A rien de spectaculaire. A rien, surtout, de détectable.

Tel est le but recherché : lorsque les combattants de l'Armée syrienne libre (ASL) les plus avancés dans Damas comprennent qu'ils viennent d'être exposés à des produits chimiques par les forces gouvernementales, il est trop tard.

Quel que soit le gaz utilisé, il produit déjà ses effets, à quelques centaines de mètres seulement d'habitations de la capitale syrienne.

Au début, il n'y a eu qu'un bruit modeste, un choc métallique, presque un cliquetis. Et dans le fracas des combats du jour dans le secteur "Bahra 1" du quartier de Jobar, cela n'a d'abord pas attiré l'attention des combattants de la brigade Tahrir Al-Sham ("Libération de la Syrie"). "On a pensé à un obus de mortier qui n'avait pas explosé, et personne n'y a vraiment fait attention", explique Omar Haidar, responsable opérationnel de la brigade, qui tient ce secteur avancé, à moins de 500 mètres de la place des Abbassides.

PAS D'ODEUR, PAS DE FUMÉE

Cherchant ses mots pour dépeindre ce son incongru, il le décrit comme "une canette de Pepsi qui tomberait par terre". Pas d'odeur, pas de fumée, pas même un sifflement indiquant l'éjection d'un gaz toxique. Puis sont apparus les symptômes. Les hommes toussent violemment. Les yeux brûlent, les pupilles se rétractent à l'extrême, la vision s'obscurcit. Bientôt, surviennent les difficultés respiratoires, parfois aiguës, les vomissements, les évanouissements. Il faut évacuer les combattants les plus touchés, avant qu'ils n'étouffent.

De cela, les envoyés spéciaux du Monde ont été témoins plusieurs jours d'affilée dans ce quartier à la sortie de Damas, où la rébellion a pénétré en janvier. Depuis, l'enjeu de Jobar est crucial pour l'ASL comme pour le pouvoir. Mais, au cours d'un reportage de deux mois dans les environs de la capitale syrienne, nous avons réuni des éléments comparables dans une couronne beaucoup plus large. La gravité des cas, leur multiplication, la tactique d'emploi de telles armes montrent qu'il ne s'agit pas de simples gaz lacrymogènes utilisés sur les fronts, mais de produits d'une autre classe, bien plus toxiques. »

Source : http://cequelesmediasnenousdisentpas.over-blog.com/article-le-journal-le-monde-tente-desesperement-de-lancer-un-petard-deja-tres-mouille-au-depart-118076524.html

 

VIII- A lire : ‘La Désinformation et le Journal le monde’ [Broché]

Depuis des années François Jourdier écrit au Monde en réaction à la façon dont le journal traite de l'actualité et des thèmes de société de notre époque. Bulletins d'humeur, rédigés généralement le jour même, encore marqués de l'indignation devant ce qu'il faut bien appeler de la désinformation, ces lettres paraîtront peut-être parfois excessives : les extraits d'articles et les commentaires qui les accompagnent montreront combien elles sont justifiées. Elles sont pour leur quasi-totalité restées sans réponse. Allant à l'encontre du " politiquement correct " et du " prêt à penser ", qui alimentent les colonnes du " quotidien de référence ", ces lettres abordent de nombreux thèmes : relecture de l'histoire, droits de l'homme, colonialisme, antisémitisme, anticléricalisme, féminisme, écologie, ordre moral, mondialisation, populisme... Après avoir lu cet essai, peut-être ne lirez-vous plus Le Monde avec le même œil.

 

"Ce sont les valeurs fondamentales qui ont érigé le quotidien du soir en source d'informations de référence.

Désormais, sous la férule de Pierre Bergé, le quotidien « Le Monde » n’est plus un journal « de référence »."

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